Dharavi Slum Tour
Dharavi, 1 million d'habitants, plus grand bidonville d'Asie.
Ce matin, expédition avec Wessel de Hollande et un guide bombéite, direction: Dharavi.
Le bidonville commence une fois sortis de la gare de trains.
Mais qu'est-ce qu'un bidonville? Contrairement à ce que j'ai toujours pensé, ce n'est pas simplement un endroit où les gens vivent entassés les uns sur les autres dans des maisons en papier mâché. Tout d'abord, je tiens à préciser qu'en Inde, les gens vraiment pauvres ne peuvent pas s'offrir le luxe d'une cabane en bidonville. Les gens vraiment pauvres, ils vivent dans la rue. Point. Pour revenir à ma définition, je dirais qu'un "slum", ça m'évoque fortement ce à quoi devait ressembler l'Europe au moyen-âge. Il ya des piles de tout partout, les égoûts sont à ciel ouvert et les maisons sont une espèce d'entassement de matériaux divers et variés défiant les lois de la gravité.
Mais... oh surprise, Dharavi est organisé! Il y a différents quartiers, selon les secteurs d'activité: les potiers, les recycleurs, les teinturiers, les pâtissiers (hummm, ces bons petits gâteaux roulés à la main sur le sol crasseux!), les spécialistes du cuir, les trieurs de détritus, etc etc etc.
Se balader dans le slum, c'est comme un jeu de piste géantissime. Un vrai labyrinthe. Parfois, les rues ont une largeur d'épaules, juste assez pour se faufiler... tout en prenant garde, bien sûr, de ne pas se vautrer bêtement dans les grosses flaques ou les petits canaux chariant toutes sortes de déchets organiques fort sympathiques.
Et les gens étaient... charmants! Des enfants magnifiques partout, des femmes rieuses et si élégantes, même en plein labeur, des vieux très communicatifs. Un vrai bonheur! Quel frustration de ne parler que quelques stupides mots de hindi... Heureusement que le sourire, le regard et le langage du corps sont des langues universelles.
Ce matin, expédition avec Wessel de Hollande et un guide bombéite, direction: Dharavi.
Le bidonville commence une fois sortis de la gare de trains.
Mais qu'est-ce qu'un bidonville? Contrairement à ce que j'ai toujours pensé, ce n'est pas simplement un endroit où les gens vivent entassés les uns sur les autres dans des maisons en papier mâché. Tout d'abord, je tiens à préciser qu'en Inde, les gens vraiment pauvres ne peuvent pas s'offrir le luxe d'une cabane en bidonville. Les gens vraiment pauvres, ils vivent dans la rue. Point. Pour revenir à ma définition, je dirais qu'un "slum", ça m'évoque fortement ce à quoi devait ressembler l'Europe au moyen-âge. Il ya des piles de tout partout, les égoûts sont à ciel ouvert et les maisons sont une espèce d'entassement de matériaux divers et variés défiant les lois de la gravité.
Mais... oh surprise, Dharavi est organisé! Il y a différents quartiers, selon les secteurs d'activité: les potiers, les recycleurs, les teinturiers, les pâtissiers (hummm, ces bons petits gâteaux roulés à la main sur le sol crasseux!), les spécialistes du cuir, les trieurs de détritus, etc etc etc.
Se balader dans le slum, c'est comme un jeu de piste géantissime. Un vrai labyrinthe. Parfois, les rues ont une largeur d'épaules, juste assez pour se faufiler... tout en prenant garde, bien sûr, de ne pas se vautrer bêtement dans les grosses flaques ou les petits canaux chariant toutes sortes de déchets organiques fort sympathiques.
Et les gens étaient... charmants! Des enfants magnifiques partout, des femmes rieuses et si élégantes, même en plein labeur, des vieux très communicatifs. Un vrai bonheur! Quel frustration de ne parler que quelques stupides mots de hindi... Heureusement que le sourire, le regard et le langage du corps sont des langues universelles.
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